soyons poete saison 2

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon coeur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de mermillon..

va savoir je suis pas herbitologue

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
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au bord de cette terrasse
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et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

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comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
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trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

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mais avec une telle foi

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je me suis remémoré

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et que nos âmes d'un allant communiaient

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le miel de ta peau en devint une liqueur

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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

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et moi je tatone

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et si ça t'étonne

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plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

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peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les ecarter

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

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et moi je tatone

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et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

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J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

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alors je vais les ecarter

tu parles de ton fessiers ?

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et moi je tatone

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et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

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peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
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au bord de cette terrasse
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pour une courte durée

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ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
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que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
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et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

sous cette nuit paisible
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Je vis ma dulcinée
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c'est alors que je me suis approché
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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

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et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
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J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
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Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....

sous cette nuit paisible
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Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

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alors je vais les écarter

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Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
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Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

sous cette nuit paisible
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Je vis ma dulcinée
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c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

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pour une courte durée

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et un geste malsain
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et que nos âmes d'un allant communiaient

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que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
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c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
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et que nos âmes d'un allant communiaient

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le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
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va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

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Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
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Il commence à faire chaud....
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mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney

sous cette nuit paisible
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c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

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mais avec une telle foi

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et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
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c est le bonheur,l extase,une telle félicité

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et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

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plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
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tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

sous cette nuit paisible
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Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
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mais avec une telle foi

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tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

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se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
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et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

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et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
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c'est quoi ce mot tout con ?
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va savoir je suis pas herbitologue
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alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
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et nous distillons cet instant, le vivons intensément
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J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
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Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

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pour lui murmurer

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nous avons simplement
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au bord de cette terrasse
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pour une courte durée

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je me suis remémoré

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et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
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et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
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plus précisément
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jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

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et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
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Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

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je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

sous cette nuit paisible
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Je vis ma dulcinée
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c'est alors que je me suis approché
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j aurais voulu que cela dure toute l éternité

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sache que plus tu t'adonnes
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pour peu que je te donne
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il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?

sous cette nuit paisible
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Je vis ma dulcinée
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c'est alors que je me suis approché
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et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
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c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

+
----
-sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
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jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
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ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

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se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

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le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
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que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

Oh ben pourquoi pas !!!!

-sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

Oh ben pourquoi pas !!!!
alors je remis ça une seconde fois

-sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

Oh ben pourquoi pas !!!!
alors je remis ça une seconde fois...

Alors que tout espoir semblait perdu

+
----
--sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

Oh ben pourquoi pas !!!!
alors je remis ça une seconde fois...

Alors que tout espoir semblait perdu
en persistant j'y suis parvenu

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

Oh ben pourquoi pas !!!!
alors je remis ça une seconde fois...

Alors que tout espoir semblait perdu
en persistant j'y suis parvenu

tiens la belle mère de paranoO°

sous cette nuit paisible
dans une ruelle tranquille

Je vis ma dulcinée
et ça me donna envie de la piner

c'est alors que je me suis approché
pour lui murmurer

que je vais lui arracher
sans avoir a chercher

a lui faire mal ou que ce soit
mais avec une telle foi

nous avons simplement
trinqué délicatement

au bord de cette terrasse
qui faut l'avouer était pleine de crasse

plus précisément
nous nous embrassâmes tendrement

jusqu'a a être séparés
pour une courte durée

par une scintillante
journée étincelante

ou j'ai du partir
avec un soupir

et un geste malsain
tel aurait fait un bambin

dans un endroit isolé
je me suis remémoré

tous nos moments passés
quand nos deux corps entrelacés

se cherchaient et se découvraient
et que nos âmes d'un allant communiaient

et vibraient sous le rythme des battements de nos coeurs
le miel de ta peau en devint une liqueur

qui m'enivrait et m'empêchait même de penser
j aurais voulu que cela dure toute l éternité

mais cela n'était seulement que des instants magiques
comme il y en a dans les cirques

où la magie opère sous les lumières
ou a chaque fois on joue comme si c était la première

et nous distillons cet instant, le vivons intensément
dans l'espoir futile que se fige le présent,

trop précieux pour le laisser appartenir au passé
c est le bonheur,l extase,une telle félicité

que le coeur s'embrase, la raison s'y abandonne
et moi je tatone

tu es mon ambroisie,ma méthadone
et si ça t'étonne

sache que plus tu t'adonnes
plus tu m'étonnes

pour peu que je te donne
mon été mon automne.

J'entends, dans mon cœur, ta voix qui chantonne
en disant que tu me pardonne

tiens ça sent bon
mais c un parfum trop abscon

c'est quoi ce mot tout con ?
peut-être un vers de vermillon..

va savoir je suis pas herbitologue
Voir même gynécologue !

et pourtant ce n est que le prologue
d'un bien long monologue...

Tiens j'ai envie de péter
alors je vais les écarter

tu parles de ton fessiers ?
Je préfère m'éloigner ....

car c'est encore un coup il va
faire un gros caca

Il commence à faire chaud....
tellement chaud que j'ota mon haut ....

mais à la vue de cette horreur ...
je suis aller cueuillir des fleur

mais après avoir regardé de plus près
j'ai remarqué un mickey

sur sa culotte aux motifs walt disney
il y avait un liquide qui coulait

je lui dis sereinement :
Putin, c'est fou ce que tu es bandant !

c'est alors que nous avons pensé
Qu'il serait temps que je te mette une féssé...

mais pourquoi ça ?
t'en reveux tant que ça ?

Oh ben pourquoi pas !!!!
alors je remis ça une seconde fois...

Alors que tout espoir semblait perdu
en persistant j'y suis parvenu

tiens la belle mère de paranoO°
a encore mis sa chemise à carreaux